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Lettres du supérieur général, le P. SCHWINDENHAMMER, aux Pères FREYD, FRITSCH, STUMPF, LIBERMANN... (ou lettres écrites en son nom) :
En 1860 : 29 (dont 21 au P. STUMPF. La lettre du 17.09.1860 a, en plus, un mot du P. Frédéric LEVAVASSEUR).
En 1862 : 2 lettres du P. SCHWINDENHAMMER.
En 1863 : 1 du P. SCHWINDENHAMER au P. STUMPF, 1 du P. Fr. LEVAVASSEUR au P. SCHWINDENHAMMER (proposant de céder le séminaire français), une note du P.BARILLEC.
En 1864 : 4 lettres, dont une de Mgr KOBES au P. FREYD du 28.04.1864.
En 1866 : 4 lettres du P. BARILLEC au P.ESBACH.
En 1867 : 6 lettres (1 du P. DUPARQUET, 4 du P. BARILLEC, 1 du P. SCHWINDENHAMMER, 1 du P. BARTHET).
En 1868 : 72 lettres (de divers, maladie du supérieur général...).
En 1869 : 11 lettres (de divers, la plupart adressées au P. FREYD).

7 lettres de 1847 à 1851 (dont une à Mgr TRUFFET).
74 lettres en 1852.
70 lettres en 1853 (1 du P. Leman, 3 du P. Delaplace).
74 lettres en 1854.

Correspondance avec le ministère de la marine et des colonies à propos de cette succession de Pères morts, le premier à la Guadeloupe, le second en Guyane.

Dossier de 10 pièces sur les droits de la Congrégation à CAYENNE, en GUADELOUPE, et à GOREE. Ces droits pouvaient paraître porter atteinte aux prérogatives des évêques, par exemple pour la nomination des professeurs de séminaire.
Ce dossier est accompagné d'un second, touchant également à ce problème de l'existence légale de la congrégation. En 1867-1868, le P. SCHWINDENHAMMER demande au Ministère de faire reconnaître cette légalité à PONDICHERY également.

L'acquisition d'HENNEBONT (les Haras) en 1856 et celle de CELLULE en 1857 obligent à chaque fois le Supérieur général à entreprendre des démarches officielles qui manifestent l'existence légale de la congrégation.
Les Haras d'HENNEBONT (ancienne abbaye de la Joye) seront échangés en 1857 contre ceux de LANGONNET (Abbaye).
Le 29.12.1857, Napoléon signe le décret autorisant la congrégation à établir un petit séminaire colonial à CELLULE.

Le supérieur général de la congrégation du Saint Esprit est le représentant du Cardinal Préfet de la Propagande auprès du gouvernement français et le clergé colonial "pour tout ce qui regarde les intérêts de la religion". Il s'agit en particulier de la formation, du recrutement des prêtres...

Lettres et comptes-rendus de conseils parlant des différents entre Mgr KOBES et l'administration du P. SCHWINDENHAMMER.

Registre des décrets et autres actes officiels émanant de l'autorité du supérieur général de la Congrégation du Saint Esprit et du Saint Coeur de Marie. Ce registre regroupe 212 pièces.
Annexe : règlement particulier à l'usage de Messieurs les Missionnaires qui sont admis à séjourner au séminaire du Saint Esprit.

Reprise (calligraphiée) de tous les éléments de discussion avec le ministère de la Marine et des colonies concernant l'existence légale de la congrégation.

Lettre imprimée de juillet 1857 dans laquelle le P. SCHWINDENHAMMER sollicite l'attention des curés de paroisse en faveur des vocations missionnaires.