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L'acquisition d'HENNEBONT (les Haras) en 1856 et celle de CELLULE en 1857 obligent à chaque fois le Supérieur général à entreprendre des démarches officielles qui manifestent l'existence légale de la congrégation.
Les Haras d'HENNEBONT (ancienne abbaye de la Joye) seront échangés en 1857 contre ceux de LANGONNET (Abbaye).
Le 29.12.1857, Napoléon signe le décret autorisant la congrégation à établir un petit séminaire colonial à CELLULE.

La réclamation d'un reliquat de solde après le décès de l'abbé BRASSEL relance le problème de la reconnaissance légale des statuts de la congrégation. Echange de correspondance, présentation des pièces officielles de 1816 à 1848. L'affaire n'est terminée qu'en 1877.

M. CLAIR était un ancien membre de la congrégation. Après sa sortie, il réclame un dédommagement. Finalement il a recours, en 1855, à un tribunal civil. Le jugement lui est défavorable.
Le cas avait été soumis également au chapitre de 1853.

1866 : difficulté avec le P.LEMAN (lettres des PP. COLLIN, LEVAVASSEUR, LEMAN et DURET).
1867 : lettre PP. COLLIN et HUBERT.
1868 : difficultés avec les PP. LEJEUNE et OTT (lettres du P. Ignace SCHWINDENHAMMER, du P. LOTT, du P. LEJEUNE, du P. HUBERT).
1968 : lettres du P. COLLIN, du P. GRIZARD, du P. RIEHL, du P. BARILLEC.
1870 : lettre du P. COLLIN.
Reflètent un certain nombre de critiques quant au fonctionnement du conseil général.

Emprunt hypothécaire sur LANGONNET (1872).
Reliquat de solde DURET (1876).
Arrêt concernant la PROVIDENCE (LA REUNION) (1879).
Legs et donations FOURDINIER, LORIDAN, MARGERIS, BRUYAS (1877-1880).

2 chemises contenant des brouillons de circulaires.
Liste des circulaires du P. SCHWINDENHAMMER.
Dans la même boîte, circulaires n° ,2, 3, 4, 18 , 35, 39, 41, 42, 43, 44, 44bis, 46, 47, 48, 50.
Appendice à la circulaire n°34 (récit de la tentation du P. LEVAVASSEUR).
Instructions et avis n°1, 6, 7, 10, 13, 14.

Consultation confidentielle organisée par le P. SCHWINDENHAMMER en 1852 sur la situation de la Congrégation par rapport à l'archevêché de PARIS. Ce dernier a-t-il juridiction sur la Congrégation ? L'archevêché n'admettait pas le changement opéré par les Constitutions qui ont suivi la fusion de 1848.

Lettres du P.SCHWINDENHAMMER, supérieur général (1854-59) et du P. MOYSAN (1858-59) adressées au procureur spiritain de ROME (résumé des lettres au début du dossier) :
En 1853 : 22 (au P. LANNURIEN)
En 1854 : 28 (en septembre, décès du P. LANNURIEN).
En 1855 : 26 (en octobre, le problème de la juridiction de St LOUIS du Sénégal).
En 1856 : 20 (au P. FREYD).
En 1857 : 18 (dont 1 du P. COLLIN au P. FREYD, 1 du P. COLLIN au P. LEMAN, 1 de X au P. LEMAN, un mot du P. MOYON).
En 1858 : 27 (du P. SCHWINDENHAMMER au P. FREYD)
En 1858-59 : 18 du P. MOYON(dont 11 au P. BRICHET, 6 au P. FREYD).
En 1859 : 37 (du P. SCHWINDENHAMMER aux P. X. LIBERMANN, DELAPLACE, FREYD, STUMPF.

Copies (tapées à la machine) de lettres ou d'extraits de lettres du P. SCHWINDENHAMMER, du P. LEVAVASSEUR ou d'autres (BOULANGER, LANNURIEN, LEMAN, BARBIER...) à propos des relations de la congrégation avec la mission (1853, 1854, 1855).
Extrait du journal du noviciat du Gard. Le P. LIBERMANN touchait déjà ce sujet dans ses conférences.
Extrait de lettres du P. LIBERMANN (avec le P. COLIN entre autres, supérieur des MARISTES) sur les évêques venus des congrégations religieuses. Lettres à propos de Mgr BESSIEUX.
Résumés (manuscrits) de la correspondance avec la Sénégambie.

Se repose encore la question des statuts de la congrégation. Il s'agit surtout de consultations sur différents points litigieux : par exemple le mode de possession des biens de la congrégation, ou encore la valeur du contrat entre la congrégation et l'un de ses membres.